Le fonds CDMC-MMC à la Médiathèque Hector Berlioz du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris

À la suite de la création de la Maison de la Musique Contemporaine en juillet 2020, le fonds documentaire CDMC-MMC a été confié en dépôt à la Médiathèque Hector Berlioz du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP). Le jeudi 16 mars prochain à 18h, les étudiant·e·s du CNSMDP, interprèteront une sélection d’œuvres à la médiathèque du Conservatoire. 

UN FONDS PLUS ACCESSIBLE

En septembre 2021, le fonds CDMC-MMC, riche de plus de 20 000 œuvres de musique contemporaine, a rejoint les collections de la Médiathèque Hector Berlioz du CNSMDP. Parallèlement à l’installation et à la réorganisation des documents, à l’ouverture de leur communication au public, le catalogue a été intégré au portail de la médiathèque du Conservatoire et une interface spécifique a été développée. Différents modes de navigation sont proposés, ainsi que la possibilité de rechercher des œuvres par effectif instrumental et vocal. 

DE NOUVELLES PERSPECTIVES

Cet événement permet une nouvelle fois de mettre en lumière les liens tissés entre le CNSMDP et la Maison de la Musique Contemporaine. La conservation en un même lieu des collections de musique contemporaine propres au Conservatoire (plus de 90 000 documents) et de celles issues du CDMC (plus de 40 000 documents) met à la disposition de tous un fonds d’une richesse sans précédent. Cette ressource aujourd’hui exceptionnelle fait naître de nombreuses pistes de travail et de collaboration en étroite concertation avec les étudiant·e·s et les professeur·e·s du CNSMDP.

UN PROGRAMME INÉDIT

Envisagé comme une matière vivante, le fonds CDMC-MMC sera mis à l’honneur lors de cette soirée avec plusieurs pièces jouées par les étudiant·e·s : Trois strophes sur le nom de Sacher (1982) d’Henri Dutilleux, Sacher variation (1975) de Witold Lutoslawski, Parking Schubert (2017) de Bernard Cavanna, Sonate pour violoncelle et piano (1^er et 2^e mouvements) (1978) d’Alfred Schnittke, Spin and spells (1996) de Kaija Saariaho et In nomine, pour sept violoncelles (2001) de Philippe Hersant.